O L'ALMANAC DE LA ROQUETIA.
Per dire tot çò de mancar pas dins lo rèire país clapassièr e endacòm mai, una pagina occitana que serà çò que ne faretz.
Nòvas de segur, mas tanben contes de ma grand-la-bòrnia, sornetas de ma tanta Nina de Niana, galejadas e bajocadas, pròsas e poesias, opinion, fòtos o vidèos,...
Acabatz de mandar.
cercle.occitan.max.roqueta@gmail.com

samedi 8 juin 2013

Max Roqueta, Prince de las èrbas lentas





MAX ROUQUETTE, PRINCE DES HERBES LENTES
 En évoquant avec amour toutes nos espèces familières, M. Rouquette sublime les espaces méditerranéens. De la plus humble des herbes aux grands arbres, toutes les plantes occupent une place d’égale importance dans son grand théâtre vert. C’est une ode « au pouvoir de la sève obscure », à l’opiniâtreté « des herbes lentes qui reprennent le chemin de leur empire » lorsque les hommes abandonnent les lieux, à la volonté mystérieuse de vie qui gonfle les racines du grand micocoulier comme de l’humble bauque, « la bauque, l’herbe des siècles, éternellement brûlée, éternellement gelée », à la patience inexorable des plantes et des pierres face au temps qui court.Son regard attentif a su transcrire poétiquement des faits rigoureusement scientifiques : c'est cela qui rend ses textes d'autant plus précieux qu'ils ne restituent pas une nature de pacotille recréée ou fantasmée.

MAX ROUQUETTE ET SES ARBRES
 M. Rouquette évoque une quinzaine d’arbres dans son œuvre, avec en priorité les grands marqueurs des paysages méditerranéens : chênes blancs et verts, cyprès, oliviers, micocouliers, lauriers, figuiers et mûriers. Certains l’ont visiblement plus inspiré que d’autres. A travers les citations les plus marquantes, on verra quels sont ses amis intimes et à quelle lecture des paysages il se livre.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire